Mou, mou, tonton, mouton.
C'est le refrain de tonton.
C'est sa chanson de couillon.
Par un froid de canard,
Il n'y a plus un chat,
J'en ai la chair de poule.
Mou, mou, tonton, mou, mou
Mou, mou, tonton, mouton.
Je reste dans le ton,
Le ton de mon tonton.
Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour du mouton.
Je me donne un mal de chien,
Il pleut comme vache qui pisse,
C'est à devenir chèvre.
Mou, mou, tonton, mou, mou
Mou, mou, tonton, mouton.
Y a un peu trop de mou,
Faudra changer de ton.
Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour du mouton.
Parler comme un perroquet,
Il y a anguille sous roche,
Tout ça file le bourdon.
Mou,mou, tonton, mou,mou
Mou,mou, tonton, mouton.
C'est ton refrain, tonton
Y en a ras le pompon
* La répétition du refrain favorise les effets de chœur à l'unisson et les chorales béarnaises en sont particulièrement friandes et demandeuses. Le bêlatissimo indique que l'on doit chanter avec un vibrato très prononcé, très accentué à la manière de nos chères bêtes à laine.
Nous revenons toujours à nos moutons. On les aime trop pour les oublier, les ovins sont des animaux inoubliables, notamment quand ils s'expriment à leur manière, très bêtement, en bêlant gracieusement.
RépondreSupprimer