J'avais envie de m'amuser à écrire un poème en combinant ludiquement, un poème de Victor Hugo, l'usage de l'IA et ma petite inspiration.
Je suis parti du très classique "Demain
dès l'aube .." pour mieux m'en éloigner et passer très vite à
"Après-demain...".
Aujourd’hui, sans aucune prétention, je vous en livre un résultat audacieux. J'aurai pu signé Victor Algo.
Victor, demain, dès l'aube, je partirai.
Après demain, je saurai si tu m'attends.
Dans trois jours, le bonheur je le prendrai.
À la fin de la semaine, mon âme sera en suspens.
Deuxième quinzaine, je m'accorderai à penser.
Le mois prochain, venu de loin, s' entendra un grand bruit.
Le trimestre fini, je regretterai mes pensées,
Et au semestre suivant, à moi, s'offrira de beaux fruits.
Une longue année s'écoulera sur ma tristesse qui retombe.
Aucun quinquennat n'effacera l'amour et la chaleur,
Ni même un septennat et la vue d'une colombe,
En ce siècle de peu de foi, où se glorifie le footballeur.
Je te dis au revoir, je te dis à toute à l'heure.
En bonus, chères lectrices et chers lecteurs, je vous livre ces paroles historiques inspirées par le grand poète Léo Ferré : "Avec le thon va tout s'en va...ça t'a une de ces gueules ...".
RépondreSupprimerTout cela mérite réflexion, n'est-il pas ?